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À GUSTAVE POPELIN
PEINTRE
PREMIER GRAND PRIX DE ROME

Cher ami,



P OUSSÉ, par inclination naturelle, à te faire tout le plaisir imaginable, je te dédie ce long travail conduit à bonne fin.

Dieu soit loué, en nous départissant, par le courage et l’industrie de nos bons ancêtres, toutes sortes de biens terrestres, de ne point nous avoir créés, l’un et l’autre, d’une complexion à porter plus de faveur aux divertissements qu’aux façons mâles et hautes d’agir ou de penser !