Page:Le Salmigondis tome 1 1835.djvu/181

Cette page n’a pas encore été corrigée


La Danse des morts

.


Poua moi, Messieurs, reprit le peiatre, je veux TOUS conter un fait qui m’est personnel f et qui ue vous paraîtra pas moins merveillq^^ Lors de mon grand voyage en Allemaglie In’arrètai pendant quelque temps dans in^petiU ville d Oslliéiofea en Bavière. J’y airivais ^aus aucune espèce de recommandation ; mais en m’entendaut discuter sur uu tableau d’Albert Durer , placé^ans la salle du grand-conseil , on â’avis&y ja.ne sais trop comment, que je devais être un artiste habile. Dès lors les principaux habitaiis de la ville ne me laissèrent aucun repos que je u eusse iail leur portrait. En moins d’un mois^^eux et leur famille passèrent par mes pinceaux j uia réputation devint telle que les m agis-L. iyiuzcd by