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plus cochonne que lui, je voulus qu’il m’en fourre dedans et qu’il me foute ensuite. Lorsque je sentais qu’elle était bien délayée, il sortait son membre tout barbouillé, et me le donnait à sucer. Après les confitures nous cochonnâmes avec les biscuits. Je me les enfonçais jusqu’à toucher la matrice et lui les mangeait sur place. Quant sa bouche était bien pleine, il m’en donnait la moitié dans la mienne, que j’avalais avec un goût exquis. La dernière bouchée je la reçus sur les lèvres, il la poussa avec le vit, que je suçais en mangeant, et je bus en même temps le foutre que je lui fis décharger à coups de langue. Je pensais qu’après ce dernier trait nous pouvions nous coucher et reposer tranquillement ; mais l’imprévu nous attendait… À peine étendus l’un à côté de l’autre, je sentis un extrême besoin de faire pipi. D’un bond mon chéri se plaça entre mes cuisses, ouvrit les lèvres du con et, bouchant hermétiquement l’entrée avec sa bouche, il cria : — Pisse donc !… Je pissai et il but tout sans en perdre une goutte. Enthousiasmée par cet excès d’amour, car il faut réellement aimer pour qu’un homme en arrive là, je voulus, à mon tour, lui prouver que j’avais de l’affection pour lui en lui rendant la pareille et je bus après ce cher vit tout ce qu’il me versa.

— Ah ! ma chère Marietta, je comprends