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Les Progrès de la Perversité.


J’avais repris mon embonpoint. J’étais redevenue ce que j’étais avant : fraîche, blanche, potelée. Mes bras, mes épaules avaient gagné en ampleur, en rondeur ; mes chairs s’étaient raffermies. Mais ce qui faisait la joie de mes adorateurs, je veux dire, de mes fouteurs, c’est la beauté de ma poitrine.

Je n’étais encore qu’une gamine et j’avais déjà les deux plus beaux tétons que l’on puisse voir. La nature m’avait bien servie. Leurs pointes rose étaient un régal continuel pour les bouches avides de les caresser, et Dieu sait s’ils ont été baisés, sucés, léchés tirés !… Sais-je moi, tout ce que ces cochons d’hommes ont fait avec… c’est à qui les peloterait le plus.

On me les a un peu abîmés à force de les tripoter, néanmoins ils sont encore assez fermes.

— N’est-ce pas, Letty, que mes tétons sont