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engueulions et nous nous pâmions dans des flots d’amour.

Toutes nos fouteries étaient réglées d’avance, nous n’avions aucune surprise ; néanmoins nous attendions avec anxiété le moment de faire telle ou telle saleté. De suite après le dîner, il devait me donner ma goutte, la liqueur de ses couilles ; je le prévenais d’avance.

— Tu sais, mon cher fouteur, que dans un instant tu dois me faire boire un petit verre.

— Tu aimes donc bien à me sucer, Marietta ?…

— Est-ce que ton vit et tes couilles ne sont pas à moi ?… Tu me les as donnés comme moi je t’ai donné tout ce que j’ai. Étends-toi sur le canapé, que je boive mon sirop fortifiant !

Que ta bouche est bonne, chère petite salope !… Comme tu me tètes bien !… C’est délicieux… c’est divin… à toi… à toi…

Ensuite, c’était mon tour ; il me gamahuchait et je lui donnais la crême de mon sang avec un plaisir extrême.

Comme j’étais insatiable et que maître vit avait souvent besoin de repos, pour ne pas trop le fatiguer, j’imaginai une jolie polissonnerie qui charmait mes yeux en même temps qu’elle calmait mes sens. Je faisais asseoir mon cher fouteur devant la glace. Je me mettais sur lui, bien en face, les fesses appuyées sur son ventre, les cuisses très