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ses couilles sur ma gorge ; cela nous donnait des idées cochonnes ; puis il se retournait ; il couchait son vit entre mes tétons, me frottait l’estomac avec ses couilles et plaçait son cul à portée de ma bouche que je léchai.

Le dîner se passait comme le déjeûner, à cheval ou assise sur ses genoux, mais toujours vit en con ; nous parlions de notre amour, de nos plaisirs, de nos fouteries que nous cherchions à varier le plus possible.

Lui vantait la douceur de ma bouche la fermeté de mes tétons, le velouté de mon con, et moi, je le complimentais sur la beauté, la raideur de son vit et les progrès qu’il avait fait dans l’art de me foutre.

Le soir, quand la chambre était bien illuminée, avant de nous coucher, je faisais ma prière à genoux sur un fauteuil. Lui, se mettant derrière et croisant ses bras, me prenait les tétons. Dans cette position son membre n’avait qu’à pousser pour entrer en levrette, C’est ainsi que nous nous exclamions : « Mon Dieu, faites-nous la grâce ne nous donner des forces pour que nous puissions foutre souvent et longtemps, et donnez-nous du foutre pour que notre ardeur se calme et renaisse en déchargeant. Amen. »

Sans changer de pose, je tournais la tête, lui offrant ma bouche, ma langue ; nous nous