Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/217

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
213

suçais à tour de rôle, et puis je voulus les avoir toutes les deux ensemble.

Dans ce moment, je ne voyais rien, mais je sentais les délices du paradis ; j’éprouvais les joies célestes ; j’étais plongée dans une extase qui me pénétrait jusqu’au fond de l’âme, jusqu’au fond des entrailles en me faisant répandre des flots de foutre. Quatre fois de suite, sans interruption, je lâchai cette divine liqueur que les deux vits me pompaient.

Mes chers fouteurs, tant soit peu exténués de fatigue, se retirèrent tout humblement, mais les femmes, voyant que j’étais toute disposée à recommencer, les déshabillèrent d’abord et à force de les branler, de les sucer, elles ranimèrent si bien leur vigueur, que mon con et mon cul eurent la joie de se réjouir encore de l’emprisonnement dans lequel ils se trouvaient de nouveau. Je fus foutue et enculée aussi bien qu’une Messaline, aussi bien que la plus belle des putains aurait pu le désirer.

Le lendemain, c’était le dernier jour que je devais passer avec eux. Dès le matin, ils furent tous auprès de moi dans la plus grande nudité, me touchant, m’embrassant, me patinant tout le corps, pour m’exciter les sens, pour me faire bander.

Ils me placèrent sur le bord du lit. La mignonne se glissa entre mes cuisses en les