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appuyant les robes sur leur tête, et, mouillant leur cul et les vits, que j’avais branlés, je conduisis moi-même les deux pines dans ces réduits qui bâillaient d’impatience, et j’eus la satisfaction et le plaisir de voir ces deux superbes vits se perdre entre ces belles fesses blanches, grosses, potelées que j’avais exposées au jour, que des mains polissonnes mouvaient, pelotaient.

Je voyais aussi deux langues lascives se darder avec ivresse et des doigts polissons faisant dans le con le même office que les vits faisaient dans le cul. Puis ces mouvements de va-et-vient qui provoquaient des soupirs conduisant au souverain bonheur…

Je dévorais des yeux, avec une ardente concupiscence, ce tableau lubrique, me brûlant jusqu’au fond de la matrice, et j’entendais ces expressions de délire sensuel me jetant dans une excitation frénétique à ne pouvoir plus me modérer. Je me laissai tomber à la renverse sur le canapé en me branlant et je m’évanouis en déchargeant.

Pendant mon assoupissement ils m’enlevèrent et me mirent à cheval sur Bibi, son membre dans le con et celui de Georges dans le cul. Je rouvris les yeux ainsi, empalée devant et derrière, et ayant à mes côtés, Marietta et la petite mignonne entièrement nues, m’offrant leur bouche et leur langue que je