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cinq, lorsque je leur ferais le plaisir d’aller partager leur table et leur lit. À ce propos, la petite eut un bon mot : On dit que le mariage tue l’amour ! avec nous, ce sera l’inverse : l’amour tuera le mariage. Nous aurons tellement du plaisir à nous baiser, à nous gamahucher, à nous foutre, en un mot, nous serons si putains avec nos deux chéris, que l’amour vaincra. Moi, je veux coucher avec Bibi et Marietta couchera avec Georges, ou bien nous coucherons tous ensemble, ce qui sera mieux pour nous voir, nous sentir nous frôler plus à l’aise. Nous nous tromperons souvent de vit, nous prendrons l’un pour l’autre, et ces chers vits se tromperont aussi de con, de cul et de bouche. Nous sommes déjà habituées à ces douceurs, nous les continuerons.

— N’est-ce pas, Marietta, que tu veux que nous vivions ainsi ?… Tes yeux disent oui !… Baise-moi, frotte tes gros tétons contre les miens !… Ah cochonne !… je sens ton doigt se glisser en moi… tu entres !… Attends que je te foute le mien !… tu le sens… tu l’aimes !… Pousse… enfonce tout… branle… fais comme moi !…

— Attendez, petites putains !… je veux que vos maris prennent part à vos plaisirs.

Je les fis relever, mais sans se désunir. Je les troussai par derrière jusqu’à la taille en