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préférence qu’ils voulaient me donner, je protestai, quoique avec regret, devant ces deux belles pines remplies de promesses, mais ils ne me laissèrent pas le temps de m’expliquer ils s’emparèrent de moi, comme d’un joujou, et avec leurs mains, leurs doigts, leurs bouches, je fus déshabillée, baisée patinée, branlée et foutue. Après Bibi, ce fut Georges, en même temps que la petite et Marietta me mangeaient les tétons, me tripotaient les fesses.

Nous quittâmes cet agréable exercice pour nous mettre à table.

J’étais restée toute nue et j’exigeais que les hommes et les femmes conservassent leur toilette de mariés, mais avec gorge découverte et vit en l’air.

Les deux maris étaient à mes côtés ; je les tenais par leur membre et les caressais. En face, j’avais quatre jolis tétons pointant leurs boutons raides, menaçants, formant un ravissant tableau, propre à exciter les sens les plus endormis. Nous ne parlions que de fouteries, d’enculades en nous servant de tous les termes avec lesquels nous étions si familiers.

Je voulus savoir comment ils arrangeraient leur ménage. Nous avions vécu tous pêle-mêle, il serait bien difficile de se réduire à deux par deux. Après bien des avis, il décidèrent de vivre comme par le passé, ne formant qu’un seul ménage à quatre et à