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À chaque instant, Bibi venait m’embrasser, me donner de petits coups de langue sur les lèvres, sur les tétons, me demander comment j’étais, et avec qui j’avais fait la putain pour être rentrée épuisée. Ils furent surpris d’apprendre que c’était avec le Prince Georges. Dès lors, ils cessèrent de me questionner.

Après plusieurs jours de repos, de calme, de soins affectueux, car mes bons chéris m’entouraient de toutes les attentions les plus délicates, cherchant à me distraire en m’amusant, à ranimer mon tempérament, je me remis tout à fait pour assister à leur mariage, à leur bonheur, que je partageais de bien bon cœur, sans me douter que leurs premières caresses seraient pour moi.

Le matin même, avant d’aller accomplir leur acte, Marietta et la petite, assistées de leurs futurs époux, me renversèrent et voulurent me gamahucher et me faire décharger. Ils me laissèrent à moitié évanouie, couvant le plaisir que j’avais goûté, et réveillant de nouveaux désirs sensuels qui furent satisfaits.

En effet, à peine rentrés de la cérémonie, je vis s’avancer les deux couples ; les femmes me présentant, m’offrant le vit de leur mari qu’elles tenaient, qu’elles branlaient, et les hommes en manifestant le désir de vider en moi leurs couilles pleines.

Confuse de tant de prévenance et de la