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cuisses, mes fesses ; ensuite il m’enfonça son membre et déchargea quatre fois sans s’arrêter.

Pendant qu’il me foutait, il me branlait les tétons, et se pâmait de plaisir ; et moi, je mourais de bonheur.

Avant de me rhabiller, je voulus embrasser son membre devenu bien humble. L’action de ma langue et la pression de mes lèvres le firent fièrement se redresser, si bien, qu’il me cracha une bordée de foutre brûlant que j’avalai d’un trait. Son Altesse me combla d’éloges et me dit qu’il y avait longtemps qu’il n’avait autant joui. Il me quitta après m’avoir fait promettre d’aller passer une journée entière avec lui, chez lui, à Calton-house.

La vieille maquerelle, qui guettait ma sortie pour avoir la pièce, me complimenta et me dit que le Prince était fou de moi. La maîtresse de la maison, Miss Rosy, qui se tenait derrière la vieille, m’adressa aussi ses félicitations, et me fit part de la surprise qu’elle préparait à son Altesse.

— Je pense, Madame, que vous feriez une chose bien agréable à votre royal amant, si vous vouliez vous joindre aux jeunes et jolies belles qui ont déjà accepté le rôle que je leur ai proposé ; c’est le seul moyen de le retenir parmi vous. Le Prince vous aime, vous adore, comme il m’a aimé, m’a adoré