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mêmes caresses. Elle me suça les tétons et voulut me branler le con.

— N’est-ce pas, Letty, que je suis une bonne putain ?… Toi aussi, tu es une belle putain !… Je t’ai vue le soir où tu es venue te faire foutre au bordel. J’aurais voulu être là, avec toi, pour te gamahucher.

Elle était si animée, si excitée, que je la serrais dans mes bras en lui enfonçant un doigt dans le con et ma langue dans la bouche.

Dans l’état d’ivresse où elle se trouvait, mes caresses eurent le pouvoir de la calmer tout en la plongeant dans une béatitude immense. Elle se serra contre mon corps plus étroitement qu’elle ne l’était déjà. Je sentais le frissonnement de bien-être qui l’envahissait.

Nos deux hommes étaient là, avec leur vit dur, tout palpitants de désirs. Je fis signe à Bibi d’enculer cette belle croupe et j’offris la mienne à Georges, qui l’enfila aussi rapidement qu’il le put. Nous tombâmes presque en même temps dans un délire suprême. Les soupirs se confondaient ; les exclamations de bonheur s’exhalaient de bouche en bouche : aucun ne savait exprimer les délicieuses sensations qu’il goûtait.

À peine revenus, nous recommençâmes les groupes de la veille avec toutes les lascivetés lubriques qu’il nous fut possible d’inventer,