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peu d’instants cul, con, bouche et vit, furent satisfaits.

Moi, j’eus la joie de boire le foutre de la mignonne pendant que je déchargeais dans la bouche de Georges et que Bibi m’inondait le cul. Ma bonne reçut également la bordée du membre qu’elle tétait.

Nous nous relevâmes tous enchantés, heureux des folies que nous venions de faire.

La petite ne savait comment me manifester son contentement. Elle n’avait jamais assisté, ni pris part à une fête pareille.

Elle m’accablait de questions, me demandant si elle resterait encore avec nous, si nous répéterions ces charmantes lubricités, si… si…

— Tu les aimes donc, petite coquine ?

— Si je les aime !… Y a-t-il quelque chose de meilleur ?… J’en voudrais encore !… j’en voudrais toujours et longtemps !…

— Sans t’inquiéter des infidélités que tu fais à ton chéri.

— Quant il est là, et qu’il permet, je ne suis point infidèle. Moi-même je ne trouve pas qu’il m’ait trompée en enculant Marietta et en te suçant le con. Je suis si charmée de le voir te caresser que si tu voulais nous ferions une jolie scène qui s’est passée au bordel, à laquelle j’étais présente.

— Dis-nous ça, petite chérie. Nous t’écouterons si c’est bien cochon.