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prit des deux mains et, ouvrant bien le trou, y mit la pointe de sa langue.

Georges compléta ce tableau libertin en enculant le derrière qui était devant lui ; il n’eut qu’à se baisser pour l’enfiler. Marietta fut ravie de cette double caresse. Comme moi, elle était friande de ce suprême bonheur : être foutue et enculée en même temps.

C’est elle qui poussa les premiers gémissements. Le vit de Georges l’inondait pendant qu’elle déchargeait.

Cela mit le feu à mon con et à celui de la petite, ils pleurèrent de suite des larmes de foutre.

Moi, je coulais dans la bouche de la mignonne, elle coulait dans celle de Bibi, et Georges coulait dans le cul qu’il foutait Chacun de nous eut sa part des plaisirs. Seulement Georges et moi n’avions rien bu, il nous fallait notre portion.

Alors, je fis placer la petite là où j’étais. Je me mis entre ses jambes en posant mes lèvres sur sa fente et en y poussant ma langue. J’allongeai bien ma croupe en écartant les cuisses, pour que Georges me gamahuche et que Bibi m’encule. Marietta se coucha à plat ventre et prit dans sa bouche le vit dur qui était à sa portée.

Dès que ce nouveau groupe fut formé, nos corps se mirent en mouvement, et en