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Elle me souriait. Elle me disait que mon foutre était bon, qu’elle l’aimait qu’elle aimait mon con, qu’elle voulait encore boire. Elle fourra tout son nez dedans, puis les bouts de ses tétons, les léchant ensuite… Qu’elle était jolie cette blondinette, une vraie gamine, ayant dans ses yeux rayonnants toutes les curiosités de l’inconnu ; dans sa bouche fraîche et pourprée l’attente radieuse de ce baume divin dont elle était friande, et dans sa cervelle tous les raffinements des plaisirs sensuels d’une putain consommée. Son éducation était complète, elle n’avait plus rien à apprendre.

— Ah ! petite garce, petite salope !… tu m’excites, tu m’énerves, tu me mets le diable au corps ! fous-moi encore… fous… suce… bois !… — et sa langue disparut de nouveau dans mon con.

Pour qu’elle ait une part dans les plaisirs qu’elle allait encore me faire éprouver, je fis signe à Bibi de la gamahucher. Il se coucha sur le dos en introduisant sa tête entre ses cuisses, exhibant un superbe vit bien bandant, raide comme un piquet, que Marietta s’enfonça jusqu’à la racine en se mettant à cheval sur lui.

Dans cette posture, elle avait sous les yeux les belles fesses de la petite avec son joli cul bien tentant, que le gamahuchage de Bibi faisait bailler par contrecoup. Elle les