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son excellent conseil et tu vois que je m’en trouve bien. Si bien, si contente, si joyeuse, que je voudrais faire la… tu sais !… Dis le mot, si tu veux que je le fasse…

— La putain, n’est-ce pas ? Eh ! bien, oui, fais-la, fais-la pour moi.

Elle se déshabilla toute nue et m’aida à en faire autant. Je croyais que c’était pour nous coucher que nous le faisions mais non ! Elle me saisit le vit, le lécha, le mouilla de salive ; elle mouilla avec le doigt l’entrée de son cul, et, se plaçant à genoux sur une chaise, m’offrit son beau derrière.

— Te rappelles-tu, mimi, ce qui a été convenu ?… Viens dépuceler ce trou. Mets-le bien doucement, ne pousse pas trop fort pour ne pas me faire crier. Tu es si gros et il est si petit que si tu forçais un peu brusquement, tu m’écorcherais. Et je pense que tu ne veux pas faire du mal à ta putain chérie, à la petite putain de ton cœur ?…

J’étais en extase devant ces deux globes blancs, dodus, satinés ; ces belles fesses potelées qui donnaient envie de mordre dedans, encadrant ce joli cul de jeune fille, placé juste au milieu du vallon amoureux allant rejoindre cette bouche vermeille dont les lèvres baillaient de désirs.

— Que tu es belle ma chérie ! Tout ce que tu as est parfait ! Jamais je ne me serais ima-