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Avant de nous coucher, nous recommençâmes avec plus d’ardeur, plus de passion, et je l’arrosai copieusement. Elle-même déchargea plusieurs fois de suite : son con était une fontaine.

— Tu sais, mon chéri, que tu ne m’as pas encore donné mon petit nom !… Celui que j’aime tant, que je veux conserver pour toi ?…

— Tu veux donc être toujours ma petite putain chérie ?

— Toujours… toujours !… Y as-tu pensé à ta petite putain ?… et ce gros polisson s’est-il relevé ?… On dirait qu’il est plus gros, plus long !… Vois comme il me remplit la main !… Quelle jolie tête il a !… Et cette petite bouche mignonne qui s’ouvre à la pression de mes doigts !… Il demande un baiser !… il veut la caresse de sa petite Garce !…

Elle se mit à genoux entre mes jambes, et, découvrant sa gorge, elle frotta ce membre sur ses tétons, puis elle le mit dans sa bouche, le suça, le lécha, le téta, le branla, but et avala toute la liqueur que je lui lâchai.

— Que c’est bon, mon Mimi !… je l’aime ce jus ! j’en voudrais tous les jours pour me fortifier, devenir plus belle, avoir des poils, de gros tétons. Alors tu m’aimerais peut-être davantage ?… Tu sais que je n’ai encore que