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qui sait me donner toutes les joies du paradis.

Je me déshabillai entièrement et nous nous couchâmes presque l’un sur l’autre.

Un bon sommeil de plusieurs heures nous remit en force et nous disposa plus que jamais à reprendre nos délicieuses fouteries.

Ma petite coquine de compagne n’avait pas perdu son plan. En ouvrant les yeux, elle s’était emparée de mon vit ; elle l’avait branlé et, se mettant à cheval sur moi, se l’était enfoncé dans le con. Puis, se penchant sur mon corps, elle me couvrit de baisers fous.

Je me réveillai sous cette grêle de caresses, et l’action de cette polissonne de langue qui ne demandait qu’à disparaître dans ma bouche.

— Mon chéri, bien-aimé, je te tiens encore !… tu es sous moi, je te fous !… Es-tu fâché que je sois ta fouteuse ?” Si tu savais comme ton cher vit me fait du bien !… comme je jouis !… Prends les tétons, branle-les vite… vite… le plaisir est là… le foutre va couler !… à toi… je meurs… je…

Je la fis revenir en lui pressant les fesses et lui chatouillant le cul.

— Tu es bien fatiguée, ma petite femme ; repose-toi.

— Me reposer, dis-tu ?… Est-ce qu’une putain doit se reposer ? surtout quand elle sent dans son con le vit dur, bandant, de son