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Au commencement du repas, Bibi débandait ; il se ressentait des quatre décharges qu’il m’avait lâchées ; mais, soit mes mains, soit les pieds de Marietta, et même l’exposition de nos tétons provoquants de beauté, radieux de fermeté, ce membre si humble reprit toute sa fierté. Nous nous relevâmes et, poussant ma bonne contre le lit, je conduisis moi-même ce vit menaçant dans le con qui bâillait de désirs. Ils déchargèrent en même temps. Pour finir, je voulus qu’il l’encule, et nous nous couchâmes ensuite, enchantés de notre bonne journée,

Le matin, Bibi nous donna un gros baiser sur les tétons, un coup de langue sur le con et déposa son vit sur nos lèvres ; c’était le bonjour matinal que nous avions institué. Après le déjeuner, je tétais mon lait chaud, et dans la journée nos cons et nos culs recevaient leur part de plaisirs.

Plusieurs semaines se passèrent ainsi sans désirer autre chose. J’avais même oublié le joli garçon que je voulais. Ce que me donnait Bibi me suffisait. Il est vrai que l’état de Marietta demanda des ménagements ; il ne fallait pas la fatiguer. Alors, dans les moments de fureur amoureuse, j’étais là, pour la remplacer, recevant ma part et une partie de la sienne et souvent toutes les deux, car Bibi ne lâchait pas facilement prise ; quand il était à l’action, il y était de cœur, d’âme,… et de vit.