Page:Le Sérail royal ou les voluptés secrètes d’un débauché - La Belle Letty, 1892.djvu/139

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
135

nous annonça que le dîner était servi. Nous nous mîmes à table sans nous couvrir, nous restâmes tout nus ; c’était la toilette qu’il était convenu de prendre et de conserver le plus longtemps possible chez nous, dans l’intimité. Je posai mes cuisses en travers sur les siennes et une des mains sur son vit à moitié mort.

Marietta se mit également toute nue pour nous servir. Elle arrangea devant nous tout ce qu’elle avait préparé et s’assit en face.

La table n’était pas bien large. J’allongeai mes pieds sur ses jambes et j’en fis glisser un entre ses cuisses, lui effleurant les lèvres de son con avec l’orteil. Devinant mon intention, elle avança son derrière sur le bord de la chaise et, tenant mon pied, elle s’en enfonça le bout du doigt.

Imitant ma polissonnerie, elle allongea ses jambes sur celles de Bibi, dont elle parvint à serrer le vit avec ses pieds. C’est dans cette position peu pratique, peu commune, qu’elle nous annonça qu’elle était enceinte. — Je le suis bel et bien, nous dit-elle, j’ai senti remuer l’enfant.

Cette déclaration nous transporta de joie. Je portai de suite un toast au futur fouteur et Bibi à la future petite garce.

— Cochon !… tu escompte déjà le con de ce petit être qui est encore dans le ventre de cette jolie putain. Je devrais dire de ta