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nos folies habituelles, de continuer notre charmant dévergondage à trois avec plus d’ardeur et moins de retenue, car étant complètement libres d’agir selon nos goûts pervers, nous n’avions plus besoin de nous inquiéter des yeux indiscrets.

Bibi-fouteur était aussi enthousiasmé que nous de se sentir tout-à-fait libre entre deux jeunes et jolies femmes qui ne demandaient qu’à lui donner du plaisir. Non content de toucher, presser, peloter, il voulut voir ; il me déshabilla entièrement, il en fit autant en me présentant son superbe vit, que je pris comme l’instrument consolateur. En effet ça me fit oublier les ennuis qui avaient précédé notre déplacement. Nous ne pouvions nous lasser de nous frotter la chair contre la chair ; nous jouions avec nos membres. Je lui tripotais tout le corps, tandis que lui me maniait les fesses, les tétons. Enfin quand nous fûmes bien excités, le lit nous reçut.

Je m’y renversai avec bonheur et je m’enfonçai ce gros bijou jusqu’à la matrice. Pendant une heure je fus labourée et inondée trois fois sans déconner. Pour ma part je déchargeai quatre fois sans être fatiguée.

— Je suis si bien dans cette position, Bibi, que je désire y rester encore. Toi, tu bandes toujours, eh bien ! relève mes jambes et encule-moi en dessous.