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— N’est-ce pas qu’ils sont beaux mes tétons ? C’est depuis que je suce ton vit, que je bois ton foutre qu’ils sont devenus si gros, si pointus et qu’ils se tiennent si raides. C’est si bon de boire à la source, cette liqueur chaude, bienfaisante, qui fait de suite bander !… Comment ne pas l’aimer !…

Quand notre chéri avait bien joui des yeux, je rassemblais mes seins en les rapprochant et en les appuyant sur son vit, qui, commençait son va-et-vient jusqu’au moment suprême où son foutre coulait, m’inondant la poitrine, le cou, le menton, que ma bonne léchait ensuite, absorbant tout, ne laissant que le parfum. Je rendais le même service à Marietta, lorsque Bibi lui foutait la gorge.

Puis, nous nous séparions pour nous réunir le soir et répéter, entre quatre murs, ce que nous avions fait en plein air.

Notre cher fouteur s’acquittait de cette lourde besogne avec tout l’amour, toute la passion qu’il éprouvait pour nous, mais bientôt il se ressentit de cet excès de libertinage. Son père s’en aperçut et se plaignit à ma mère, qui se révolta d’abord contre une telle accusation, me croyant une sainte. Ces plaintes se renouvelant sans cesse, elle nous guetta et finit par nous surprendre et se convaincre que je n’étais qu’une petite gueuse.

Une nuit, pendant que nous étions en train