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ces mouvements lubriques nous incendiaient ; tout le corps nous brûlait l’imagination. Dans un tel état, il nous fut impossible de résister plus longtemps aux désirs effrénés que nous éprouvions, aux démangeaisons sensuelles qui nous énervaient, nous faisaient souffrir.

Mon chéri se renversa sur moi, m’enfonçant son dard. J’écartai les jambes, j’ouvris bien les cuisses pour le recevoir jusqu’au fond ; il entra jusqu’à la matrice et me foutit comme une reine.

Marietta reçut la même caresse, le même foutre. Dès que Bibi eut terminé avec moi, je le poussai sur elle, et elle fut satisfaite des coups qu’elle reçut.

Dans la nuit nous recommençâmes notre joli libertinage avec certains petits perfectionnements.

Nous nous étions levés. Nous buvions, nous mangions pour nous réconforter. Moi, je trempais des biscuits dans le vin, je me les fourrais ensuite dans le con, et Bibi les mangeait tout chauds.

Marietta, au lieu de se les enfoncer dans le corps, les frottait sur la tête du vit, sur les couilles, et les avalait comme un fruit du Paradis.

J’aurais voulu en manger de ces biscuits trempés dans le cul de mon homme, mais je ne pus lui en enfoncer un seul, le trou était