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parties sensibles de mon être. Mon Bibi devait jouir plus que moi, car il poussait comme un enragé. À chaque coup il soupirait en proférant des mots, des expressions qui dépeignaient combien il était heureux. Je sentis en me réveillant tout à fait, qu’il allait décharger. La pensée d’avoir encore mon cul inondé de foutre me transporta. Je priai ma bonne de me branler. Elle se mit à mon côté mais dès que je sentis son doigt et ses lèvres sur mes tétons, toutes les sensations voluptueuses se concentrèrent dans un seul endroit : le temple de Vénus, et je fus plongée dans les jouissances les plus délicieuses par le foutre que je répandis en abondance et par celui que je reçus. Mon enculeur déchargea avec bonheur.

Marietta, non contente d’avoir bu la liqueur de mon con, se leva précipitamment pour sucer ce qui sortait de mon cul. — Ah ! la salope, m’écriai-je !… Encule-la, Bibi !… Elle ne se fit point prier, et reçut ce membre sans discontinuer le jeu de sa langue, qu’elle était parvenue à enfoncer presque à moitié, à force de pousser. Nous jouissions tous les trois de cette triple lubricité, lorsque Marietta, avec le raffinement de sa science libertine, me souleva une cuisse, posa sa main droite en dessous, s’empara de mon con. Puis, glissant son autre main autour du cou,