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Tu sais que tu es la nourrice de ce gros bébé qui sait si bien te téter ; il faut donc que tu sois en état de lui donner ce bon lait de ton vit pour entretenir et développer encore davantage ce dévergondage vicieux qui m’a jetée dans tes bras. Vas donc te reposer et prendre des forces pour contenter tes femmes, car maintenant tu en as deux, et deux qui ne sont jamais rassasiées de tes caresses. Demain tu viendras de bonne heure pour ma leçon, nous avons à conjuguer les verbes baiser, sucer, gamahucher, enculer, et le soir nous les réaliserons, si les couilles sont bien pleines, bien gonflées.

Fatiguée des courses de la journée, ma mère se coucha de très bonne heure et ne tarda pas à s’endormir. Alors je fis ma toilette de rendez-vous. Je quittai tout, je me lavai toutes les parties, je me parfumai et je m’étendis sur le lit en tournant les fesses du côté de la porte.

Quand Bibi arriva, j’étais assoupie. La pose était si provoquante, si désirable, qu’il en profita. Il écarta les fesses, y déposa un long baiser en mouillant le trou et, sortant son vit, Marietta le conduisit elle-même dans mon cul.

Quoiqu’à moitié endormie, je ressentis un drôle d’effet, un chatouillement qui se répandit bientôt agréablement dans toutes les