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— Et Bibi, lui dis-je ?

— Je l’ai fait sauver. Il était temps !

— Il y a donc longtemps que je suis là ?…

— Près de deux heures !… Comment es-tu ?

— Très bien, ma chérie, et très heureuse, Racontez-moi ce que vous avez fait pendant mon sommeil, car je crois avoir dormi tout le temps.

— Avec bien de la peine nous t’avons relevée et étendue où tu es, sans que tu aies fait le moindre mouvement. Nous pensions que ton évanouissement n’était qu’un effet produit par un excès de jouissance, alors, en me penchant sur toi, j’ai essayé de te ranimer avec des baisers, des attouchements ; je t’ai sucé les tétons, je t’ai branlée, mais en vain, tu dormais, bel et bien :

— Et Bibi que faisait-il ?

— Bibi polissonnait. Il ne perdait pas son temps ; il te faisait des infidélités.

— Vrai, Marietta, il te foutait, il te donnait du plaisir !… Ah ! cochonne, que je suis contente ! Conte-moi ça !…

— Pendant que je te caressais, lui était derrière moi, son vit me frottant les cuisses, les fesses, frôlant les deux trous. Ses mains… Ah ! les polissonnes de mains me patinaient devant, derrière, me donnant la chair de poule !… le con et le cul étaient en son pouvoir… Alors n’y tenant plus, je lui ai crié :