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Tiens, suce-le, mange ton foutre, salope !…

Le nu de mes blanches fesses qui étaient sous ses yeux ; le toucher de la gorge de ma bonne ; et les sales mots que je prononçais, excitèrent mon fouteur plus qu’il ne l’était déjà. Il pressa ses mouvements, doubla ses coups ; puis se penchant sur mon dos et passant ses bras sous les miens, il s’empara de mes seins ; il tirait les bouts, il les branlait.

— J’aime tes tétons, Letty ! Tu me les a donnés, je les veux toujours, ils sont à moi !…

Je retournai ma tête vers lui, nos bouches se collèrent dans un baiser de feu, que nos coups de langues précipités alimentaient.

— Oui, mon chéri, je t’ai tout donné, amour, tendresse, pucelage. Je suis devenue ta maîtresse, ta petite femme, ta petite femme bien cochonne. Me veux-tu bien polissonne, bien cochonne, dis ?…

Il me répondit en m’étreignant davantage et en me lâchant une abondante libation : — À toi, Letty, je suis heureux… je meurs… et il s’affaissa sur moi.

Je sentis ce foutre brûlant se répandre dans tout mon être, s’infiltrant dans les pores, me remplissant le vagin, me transportant dans les voluptés les plus célestes ; et je tombai sans connaissance, anéantie par trop de plaisir.

Les cuissons que je ressentais, et la fatigue