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78 LA CHANSON DU PAUVRK Des romances douces et graves Et si célestement suaves, Qu’on a peur de tant de langueur, Tombent parmi de pâles roses, Sur des souffrances inécloses, Et l’on sait que c’est le bonheur De deux mains à jamais fidèles Aux promesses inoubliées, Deux âmes à jamais liées Par des caresses éternelles . .