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Comment Renart et Tiberz li Chaz chantèrent vespres et matines, par Richart de Lison.


Vers 20529-30 :

Mal soies-tu si main levez,
Ce dist Renars li desfaés.[1] (68 C., 195 C.)

Vers 2u583-84 : Je ne puis mais se me haez ; Je sui formant desbaretez, Que desgarniz sui de viande ; Ma mesnie n’ont pas provande. (ig5 C.)

Vert 20589-616 : Huon l’abbé, qui ait la raige, Moult m’a hui fait mortel domaige. Et dist Thiebers : Or est assés, Une autre fois vous gaaignerés. Et dist Renars : Or du gaber Jà nou vous déussiés penser. (98-14 ) Ajirùi le vert 20594, ajouter : Il n’afiert pas à pencant Que il aille la geut gabant. (68 C.) Tour lea rers ao648-53 : Si fais-je vous, en bonne foy.

  1. Desfaés, qui manque de foi.