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Vers 13176-77 :

· · · · · · · · · · · · Mauais[1] vilain,
Que Dex li doint mal jor demain !
Car trop est cruex et félon ;
Ne me fist onques se mal non.
Ainz puis que so mon cuer déduire.(195 C.)


Vers 13177-79 :

Qui onques ne finai de luire,
Et de ses berbis adès suire.
Ces bestes ai-je amendées.(98-14.)


Vers 13190-94 :

Ta pel que toi laiesier ester.
Nus ne se doit laissier morir
Tant c’on se puisse garantir,
Et à la mort ies…(195 C.)


Vers 13224-29 :

Ne chaucemente, ne capel,
De vostre pel, je tous afi ;
Ensi seriés-vous bien gari.
On ne desdit pas pèlerin.(195 B.)


Vers 13233 :

Ensi con je vos ai conté
Que devant aux ont encontré
Bernart, qui estoit à senestre.(195 C.)


Après le vers 13264, ajouter :

Atant d’ilueques sont parti,
Et se metent en lor chemin.(195 B.)

  1. Mauais, pour mauvais, est encore en usage en Picardie, chez les gens de la campagne.