Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/177

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Que tuit venront hardiement
Renart à son besoing aidier ;
Jà ne s’en doit point esmaier.(98-14.)


Vers 9041-46 :

Bien a porprise et amainie
Avecques li de sa mainie,
Car trostoz cil de sa manière
Sont alié à sa banière.
Li preux porta le confanon
Icil qui avoit non Fuiron. (68 C., 195 C.)


Vers 9128-445 :

Sire, fait-il, ou tort ou droit,
Me convient faire voircment,
Et tout vostre commandement
Come cils qui muer ne l’ose ;
Mès je [voi] ci une autre chose.(7607-5, 195 B., 1980.)


Vers 9198-460 :

Pour le serement faire à droit.
Et dist Grimbers : A mon espoir,
Renart ne doit or si avoir
Tel presse de toute la gent,
N’affiert à baron si vaillant. (98-14.)


Après le vers 9168, ajouter :

Qui sont venu près de la vile.
Renars, qui moult savoit de guile,
Lor…(195 C.)


Vers 9297-316 :

Renart chacent, Brun cravantèrent,
Thiebcrt desoz lur piez foulèrent.