Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/126

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Vers 3268-86 :

Si se retourne d’autre part,
Si que Primaus n’i entendie,
Dedenz le bacin a pisie. (7607-5, 1980.)


Le vers 3287 ; manque, et le 3288 est suivi de celui-ci :

Or esgardés com il fu sot !


Vers 3311 :

N’ies-tu ores bien atorné ? (1980.)

Il remplace le 3312e.


Après le vers 3336, ajouter :

A orgue, à double et à treble,
Et à grosse vois et à foible. (195 B.)


Vers 3341-42 :

Et Renars a de son giron
Sa bouche estopée del pon. (7607-5, 1980.)


Après le vers 3356, qu’on lit ainsi :

Diex ! con glorieus son elle a !

ajouter :

Certes, quant elle est bien sonnée,
On l’ot moult bien d’une liuée. (195 B.)


Après le vers 3364, ajouter :

Le va durement atiçant,
Et cils va les cordes tirant
Si fort que il s’en derront tous ;
Bien cuide faire moult que prous,
Et quant il ot assés sonné,
Tant que tot furent estonné
Cil qui dormoient par la ville,
Renars, qui tant savoit de guille. (195 B., 98-14.)