Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/111

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Vers 2214-18 :

Point de son droit ne li laira :
Je cuic que bien s’en gardera. (68 C., 195 B.)


Vers 2215-16 :

Qu’il ne li merisse autre foiz,
S’il voit ne sente ne crochoiz. (195 C.)


Vers 2215-18 :

Que il n’i ait merel mestrait[1]
Se il voit chose qui lui plaist.
(7607-5, 68 C.)


Vers 2249-50 :

Que Renars le conchiera,
Car il penra et partira.[2] (98-14.)


Après le vers 2250, ajouter :

Porpense soi que il fera,
Et coment il engignera. (1955 B.)

  1. Merel mettrait, c’est-à-dire un coup mal joué, figure empruntée au jeu de merelle ou marelle. On lit, ms. 7607-5, fol. 64, verso, col. 2, vers 13953 de l’imprimé :
    Mais bien a oï la meriele
    De ce dont Roieniaus l’apele.

    Li Dis dou Saingler, par Jehan de Condé, offre ces vers :

    … Teis a le nom de hardi
    C’on voit bien puis acouardi
    Quant voit mettraite la meriele
    Et mal partie la querele. (Mss. 7534-3.3 et 317.)
  2. Ces deux vers se trouvent également en variante dans le manuscrit 68 Cangé ; mais comme Cangé a tiré ses variantes du manuscrit 98-14, nous croyons devoir nous borner à citer ce dernier chaque fois que le même cas se représentera.