Page:Le Roman du Renart, supplément, 1835.djvu/107

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Deslie, va, ces chiens, deslie ;
Voi le vulpil, mar s’en ira. (98-14, 195 B.)


Les deux premiers vers de la variante qui précède se lisent ainsi dans le manuscrit 195 B. :

Li gars qui siut les lévriers
quant il choisi les loiemiers.


Vers 1884 :

S’auques ne li vaut sa fretele.


Vers 1887 :

Ne puet mucier, ne puet gandir.(7607-5, 195 C., 1980.)


Vers 1927 :

Si comme il s’en va fuilis.(98-14, 7607-5, 195 B., 1980.)


Pour le vers 1930 :

Qui si li vient et pesme et dure,
Et de la fain qui si l’arguë,
Garde, et vit en une viez rue
Tiebert le Chat…(68 C., 195 C.)


Vers 1935-36 :

Si choisi Renart, qui l’esgarde.
Ainsi com Thiebers se resgarde. (98-14.)


Vers 1957 :

S’ot bons ongles pour gratiner. (7607-5.)


Vers 1862 :

Qu’en mains lieus ot la pel arée.[1]


Vers 1981 :

Or l’a tant Renars abourdé.(7607-5, 195 B., 1980.)

  1. Arée, labourée, sillonnée, déchirée.