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Si par haut que ses nés en saine :
Pour quoi ne crie-jou hahai, quant
Jou ne truis ki m’aime ?
Empriès ce cant prist Tite à dire
Pour çou que deffendu li ot
Canteriel à amer, ce mot
Vous ce mi deffendés l’amer, mais par
Dieu je l’amerai.
Es-vous le feme le taisson Desus un auferrant gascon
Moult joliement à sembue,
Et s’estoit de dras d’or vestue,
D’un jolif dart d’amoreites sui navrée par
Mon regart : Diex ! si li plest forment m’agrée.[1]
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Hounis soit ki blasmera.
Le vie que nous menons.