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tance qui, plus que toutes les autres, se rapproche de la liqueur séminale, était destinée à remplacer le sperme.

Florence s’étonnant un peu de la grosseur de l’objet, qui était plus du double de la banane dont elle avait essayé chez elle l’introduction, mais la comtesse souriant, répondit par la plus simple démonstration ; elle l’appuya et il disparut sans effort.

— Tu vois, dit-elle, cependant je ne suis pas large.

Florence se pencha. Il n’y avait point de supercherie, le godemiché n’était arrêté que par les testicules.

D’abord, elle y mit la main et le fit mouvoir, comme elle avait fait mouvoir la banane.

Il y avait pression, mais l’on sentait que dans cette pression même il y avait un surcroît de jouissance.

— Pas sans lait ! dit la comtesse en arrêtant la main de Florence.

On avait suffisamment admiré le bijou historique, on passa à l’un de ceux qui