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§ 4. — Inégalité naturelle des individus dans leurs tendances innées vers le bien ou le mal
§ 5. — Les deux besoins essentiels de l’humanité : la loi morale et le pain quotidien
§ 6. — Comment l’action illimitée du vice originel rend l’individu incapable de pourvoir à ses besoins essentiels
§ 7. — La guérison du vice originel par la salutaire influence des Autorités sociales
§ 8. — Comment l’éducation neutralise l’action du vice originel et rend l’individu apte à pourvoir à ses deux besoins
§ 9. — La famille, premier moyen d’éducation, principe constitutif et conservateur des races prospères
§ 10. — Les familles stables sous leur double l’orme : la famille patriarcale, la famille-souche
§ 11. — Inégalité des tendances innées qui, dans les familles fécondes, distinguent les enfants issus des mêmes parents
§ 12 — Comment la famille met à profit l’inégalité naturelle de ses enfants pour se perpétuer dans la stabilité et la paix
§ 13. — Comment la tradition et la nouveauté dominent séparément ou s’équilibrent chez les trois sortes de races issues des familles stables
§ 14. — L’exagération de la nouveauté : trait caractéristique des familles instables et des races ébranlées ou désorganisées
§ 15. — La prospérité ou la souffrance réparties parmi les peuples, selon qu’ils affirment ou nient le vice originel
CHAPITRE II
LES TRAITS VARIABLES DE L’HUMANITÉ
§ 1. — La lutte éternelle de la nouveauté contre la tradition ou la grande loi de l’histoire
§ 2. — Comment le travail, nécessaire à la production du pain quotidien, a transformé, durant trois âges successifs, la condition des familles et des sociétés