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dents, je n’enseigne aucune vérité qui me soit propre, et je me renferme dans un rôle plus modeste. Pénétré d’abord, comme les hommes de mon temps, des erreurs qui règnent en France, je me suis efforcé de revenir au vrai. À cet effet, j’ai recherché, pendant de longs voyages, les Autorités sociales qui résident sur leurs établissements ; et ma mission se réduit à exposer les vérités qu’elles m’ont enseignées. J’aurais atteint le but indiqué par l’Empereur, si j’avais résumé clairement leurs pratiques et leurs opinions.

Mon enquête reste plus que jamais ouverte ; car le présent ouvrage, en coordonnant les faits déjà recueillis, offre le meilleur moyen de les compléter. Je continue donc à faire appel aux Autorités sociales de la France et de l’étranger. Je les prie de me signaler les résultats d’expérience que je n’aurais pas assez mis en lumière. Je réclame surtout ces informations pour les pratiques de la vie privée et du gouvernement local qui assurent la paix publique, sous les régimes de contrainte comme sous les régimes de liberté (§ 8). J’examinerai, avec la déférence due à leurs auteurs, les do-