France. Traits cités touchant ses mœurs et ses institutions.
— Traits à conserver : beaux exemples individuels de travail, de talent et de vertu, IX, 133 ; persistance de l’esprit de réforme, 125 ; aptitude, toute nouvelle, à concilier la réforme et la paix publique, 127 ; bienfaits d’une littérature nouvelle, 128 ; heureuse influence des ateliers de travail fidèles à la Coutume, 129 ; vertus de la jeunesse vouée au travail, 129 ; dévouement sincère à l’humanité, 130 ; qualités de la langue française, pour la distinction du vrai et du faux, 131 ; émulation suscitée par le désir de la fortune et des honneurs, 133 ; traditions de vérité, conservées par des hommes éminents, 516, 530, 531.
— Traits à réformer : aberrations de l’opinion publique en matière d’histoire, 53 ; alliance des vices de l’ancien régime et de la révolution, 122 ; mobilité extrême des textes et des formes de la souveraineté, 123 ; antagonisme des diverses classes de la société, 180, 194 ; corruption progressive des masses, 180 ; perte des trois principales formes du respect, 190, 206 ; scepticisme croissant parmi les masses, 192, 513 ; perte du respect de Dieu, 193 ; discordes religieuses parmi les croyants, 194 ; habitudes d’intolérance et de bureaucratie, transportées de la vie civile dans la vie religieuse, 194 ; amoindrissement de l’autorité paternelle, 195, 497, 499, 504 ; perte du respect de la femme, 196 ; abandon des six pratiques de la Coutume, 199 ; libations du lundi et du mardi, 211 ; corruption électorale, 237 ; mesquines contestations entre l’Église et l’État, 251 ; omnipotence de l’État devant l’individu, la famille et les associations privées, 254 ; erreurs touchant la liberté testamentaire, 264, 499, 503, 504, 508 ; encouragements à l’instabilité et destruction de la stabilité dans la famille et le domaine rural, 281 ; désordres émanant de l’impunité de la séduction, 303 ; fausses notions du bien et du mal, 309 ; esprit de révolution et mépris de la Coutume, 314 ; amoindrissement des Autorités sociales, 318 ; intervention exagérée des légistes et des fonctionnaires, 325 ; influence anormale des orateurs et des écrivains de profession, 334 ; corruption du langage, 337, 342, 348, 351, 359 ; importance exagérée attribuée aux formes du gouvernement, 380 ; démembrement des provinces, 429 ; servitudes de la vie privée et du gouvernement local, 430, 432 ; trois vices essentiels dans le gouvernement, 456.
Gouvernants : source ordinaire de corruption, 172, 174.
Gouvernement : local, 417 ; provincial, 434 ; central, 444. — 3 vices essentiels en France : excès de centralisation dans les localités ; manque de centralisation dans l’État ; destruction de la province, 457.
Guerre : nécessité du retour au droit des gens, 463.
Harmonie sociale : l’une des formes apparentes du bien-être et de la prospérité, 2, 5.
