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LETTRE IV

Pendant qu’elle reprenait ses sens, ma tante s’était assise auprès de M. Everard et lui passant un bras autour de la taille : „Laissez moi voir, dit-elle, si ce vilain monsieur est prêt à faire son devoir ou bien s’il a encore besoin d’être mis en état.” — Il répondit en souriant qu’il ne voulait pas lui donner cette peine, mais comme elle insistait pour constater l’état dans lequel il se trouvait, il ôta son habit et son gilet et la laissa écarter elle-même les autres obstacles qui lui cachaient la vue de l’objet désiré, en même temps qu’il travaillait, de son côté, à s’accorder sur sa personne, le même plaisir qu’elle prenait avec lui. Suzanne qui avait retrouvé ses esprits étant venue à son aide, ma tante fut bientôt déshabillée et mise aussi nue que Suzanne, offrant ainsi à nos regards ses charmes féminins dans toute leur perfection et leur splendide développement. Mais ma curiosité fut encore plus excitée par le spectacle de M. Everard une fois débarrassé de ses vêtements. En voyant sa chemise se soulever lorsque ma tante lui avait baissé ses pantalons, j’avais bien eu quelque idée de ce qui allait se montrer, mais lorsqu’elle eût relevé sa chemise, je fus vraiment stupéfaite en voyant apparaître son ardent priape, dans l’état le plus splendide qu’il fût possible de souhaiter. Je contemplais ce phénomène avec autant de surprise que d’admiration et c’est à peine si je pouvais en croire mes yeux.