Page:Le Nouveau chatouilleur des dames, 1880.djvu/64

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
40
LETTRE III

bijou, Henri se coucha sur le sopha et se mit à remuer les fesses de la même manière à peu près que lorsqu’il était étendu sur les cuisses de Lady Lovesport. Je ne pus résister à la tentation et baissant la tête, je pris entre mes lèvres, après, l’avoir baisé plusieurs fois, le bouton vermeil qui s’offrait avec tant de charme à mes caresses et je commençai à le presser et à le sucer. Henri me témoigna en éprouver la plus grande jouissance et me dit que cela le soulageait tellement qu’il me priait de continuer.

J’y étais toute disposée ; d’ailleurs j’étais agenouillée en ce moment à côté de lui sur le sopha et ses mains s’étaient déjà égarées plusieurs fois sous mes jupons, pour badiner avec mes charmes nus. Il me tira alors vers lui et me relevant ma chemise sur les reins, me fit mettre à cheval sur lui tandis qu’il restait étendu sur le sopha et qu’il s’arrangeait pour que ma petite ouverture se trouvât exactement sur sa bouche. Il plaça dans ce but un coussin sous sa tête afin de l’élever assez pour être à même de baiser et de caresser la grotte de l’amour, dans l’étroit passage de laquelle il cherchait à introduire sa langue.

Le cher objet avec lequel je jouais était si fort accru et gonflé qu’il me fut impossible de le recevoir en entier dans ma bouche comme je le faisais auparavant. J’en saisis donc la partie inférieure entre mes doigts et chaque