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LETTRE II

tion. Il semblait brûler et s’animer sous les chaudes caresses qui lui étaient prodiguées, et c’était pour moi une cause d’amusement autant que de surprise, de voir les mouvements singuliers que Lady Lovesport faisait avec ses jambes et ses fesses.

Elle continua cependant à fouetter sans relâche le derrière de la pauvre Maria et à se rassasier avec M. Everard de la vue des beautés étalées devant eux dans les attitudes et les positions les plus capables d’exciter les sens.

À la fin, M. Everard mit sa tête entre les jambes de ma tante et collant ses lèvres sur sa gentille ouverture, me parut la couvrir de baisers et d’ardentes caresses. Il resta quelques minutes dans cette position, puis tout à coup, ma tante ferma les yeux, laissa tomber sa tête sur le canapé et lâchant la verge, se mit à remuer convulsivement les fesses ; après quoi elle demeura entièrement immobile.

Quelques instants s’étant écoulés, elle ramassa la verge et fit un signe à M. Everard qui se leva et gagna la chambre à coucher aussi doucement que lorsqu’il était entré. Puis, rajustant sa robe, elle annonça à la pénitente si sévèrement fouettée que sa punition était finie, enleva son bandeau et lui détacha les mains en lui disant de se rhabiller et d’aller dans son appartement.

Aussitôt Maria partie, ma tante se retira