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LETTRE VII

plus l’occasion de vous écrire, je dois remettre jusqu’à nouvel ordre le récit de mes aventures ultérieures. Je raconterai de quelle façon je présentai à Lady Lovesport et à M. Everard mes amis Sidney et Albert, et quel fut leur ravissement quand, pour les récompenser de leur complaisance à se soumettre sans hésiter à la discipline du fouet et de la bonne volonté dont ils firent preuve en se prêtant à nos plus fantastiques caprices, on leur permit de caresser les appas plantureux de l’appétissante Suzanne et de prodiguer à cette jeune personne toutes les marques imaginables de leur ardeur.

à vous pour la vie
Henri.
FIN.