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LETTRE VII

à sa façon l’orage qu’elle avait provoqué. Après quelques instants de badinage amoureux avec mes charmes nus, elle s’agenouilla et se plaça sur moi, puis se baissant elle saisit l’instrument du plaisir entre ses lèvres gourmandes, le suçant et le chatouillant du bout de sa langue rose. Je saisis l’occasion, et au moment où elle se baissait je relevai sa chemise et la tirai par-dessus sa tête de façon à découvrir ses appas. Elle sembla comprendre mon intention et désireuse de me seconder dans mon dessein, elle se leva sur ses genoux et resta quelque temps en cette posture, me permettant ainsi de repaître mes yeux ravis du spectacle enchanteur de toutes les beautés de ses opulents appas. De son côté, elle contemplait avec une égale attention mon corps d’adolescent, tandis que je me tenais couché sous elle tout palpitant de désirs et dans tout le ravissement des premières jouissances. Puis se portant en avant, elle se coucha sur moi et colla son corps contre le mien. Prenant mon priape raidi elle le maintint dans la bonne direction de sorte que pendant qu’elle retombait sur moi, il se glissa tout naturellement dans la délicieuse cavité. Nous unissant en un contact parfait nos poitrines, nos ventres et nos cuisses se collèrent si étroitement, que je sentis la forêt de touffes épaisses du mont de vénus venir jouer sur les surfaces encore presque nues qui avoisinaient mon