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LETTRE VII

s’en présente. Je lui ai ménagé à plusieurs reprises le spectacle d’une fille nue que je fouettais devant lui, et lui de son côté m’a fourni l’occasion d’assister à ses plaisirs avec Suzanne et autres filles qu’il a possédées pendant son séjour chez moi. Maintenant, Henri, mon chéri ! mettons-nous à l’œuvre, car je punis toujours, et je punis encore, quand j’ai promis de le faire. Puis se levant, elle se mit à me dépouiller de mes vêtements. Quel beau garçon vous faites maintenant ! quelles jambes et quelles cuisses ! ah ! les belles formes ! fit-elle en passant ses mains sous ma chemise, et promenant des doigts caressants sur mes fesses, sur mes cuisses et sur mes reins. Inutile de décrire l’effet produit par ces caresses sur certain objet rebelle, mais elle n’y prit point garde, et pourtant j’étais convaincu qu’elle n’avait pas manqué de s’en apercevoir. Je pensai aussi que certains mouvements fébriles qui parfois semblaient agiter son corps, devaient jusqu’à un certain point, être attribués à la présence de cet objet passionné. Son attitude m’encouragea à agir de mon côté, et voyant que sa robe n’était retenue que par ses bras et que ses jupons ne tenaient qu’à un cordon serré autour de la taille, je dénouai immédiatement ce faible lien et plaçant une main sur chacun de ses bras, je les ramenai à ses côtés, faisant ainsi glisser par-dessus les manches de la robe, Aussitôt, robe et jupons tombèrent à ses pieds