Page:Le Normand - La Maison aux phlox, 1941.djvu/178

Cette page a été validée par deux contributeurs.
[178]
LA MAISON

— Et il est venu le sinistre matin, déclara le plus jeune tout navré.

Le train vient de les emporter vers le collège. Peut-être déjà sont-ils redevenus gais ? Mais la maison est grande, silencieuse et toute triste.

De trop belles vacances portent leur rançon ; de trop violents regrets.