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rent à leur tour sur cette deuxième rangée de divans, séparèrent les femmes et revinrent avec elles au milieu de la salle.

Lentement, l’abbesse, debout sur le lit, contourna la tête du comte, de telle façon que son cul passa sur les cheveux, sur le visage, et retourna ensuite se placer face à la salle.

Les deux femmes montèrent sur le lit à ses côtés, on se groupa dans le milieu de l’hémicycle, l’homme multiplia ses caresses, ses attouchements, imité par chaque cavalier avec son couple féminin.

Une agitation indescriptible s’ensuivit où les culs dominèrent, et où il sembla qu’ils remplissaient la salle.

L’abbesse sauta à bas du lit, après toute une longue série de feuilles de roses reçues et échangées, leva les bras en l’air, toutes les femmes l’entourèrent, échappant aux hommes, toutes s’élancèrent par les gradins des divans.

Les hommes coururent après elles, une bousculade se produisit, les queues étaient en érection, un enculage monstre