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doigts, lui leur pelotant les fesses. L’abbesse se levant droite sur le lit, appuya le cul contre sa tête, ce qui le fit s’écrier :

— La lune monte, gloire aux femmes !

Toujours dans les trous des divans, les hommes avaient glissé la tête sous les jupes des femmes et leur faisaient feuilles de roses.

Les tressauts qui agitaient ces jupes, témoignaient de l’activité des caresses.

Les femmes qui étaient à la troisième rangée, descendirent près de leurs compagnes, se mirent à cheval par-dessus leur cou, et, comme elles n’étaient guère éloignées les unes des autres, se troussant, elles se pelotèrent réciproquement.

À l’apparition du cul de l’abbesse au-dessus de la tête d’Armstang, elles se prosternèrent par-dessus leurs compagnes, les fesses en l’air ; celles-ci se troussèrent de nouveau, les cavaliers reculèrent et saluèrent les deux lignes de culs qu’on leur présentait, en portant la main à leur queue et en frappant ensuite d’une claque chacune des deux femmes qui leur échéait. Ils grimpè-