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ainsi enfiler une femme, et Monsieur travaille à merveille. Je lui en adresserai mes félicitations. Imbécile, il saurait que tu l’as espionné ! Oh, oh, ils jouissent, ils se trémoussent, oh, les voilà en bas du canapé, c’est bien fait ! Oh, quelle vigueur, la brune, m’est avis que la rousse est une feignante ! Elle ne se laisse pas tirer ! Faiseuse d’histoire, va, mais elle est bougrement belle et foutue, oh, ma mère ! Oh, elles se valent, et avec des particuliers de cet acabit, hum, je crois, maître Léonard… Et ça y est, faut récidiver, faut agiter le moinillon, il partirait tout seul sans ça ! Tonnerre, est-ce qu’il le lui foutrait dans le cul ? Il a joui, ce salop-là, il n’en finira donc pas. Oh, il le lui pousse par derrière, oh, les deux jolis culs ! Il faut qu’il lèche celui de la roussotte en bourlinguant l’autre ! Elle s’est placée devant sa figure, cette gueuse ! Ah, biscaïen de Magenta, je dégouline, je dégouline, ma pauvre culotte ! Ah, c’est pas du jus de sauterelle que je perds, c’est du jus d’éléphant, tant il en sort, oh, oh, oh, Rosalie, à ta santé, bougresse ! Y a pas à dire, faut que je me